Bonjour j'espère que tout le monde a apprécié son voyage et a bien profité des vacances pour se reposer et revivre l'aventure avec parents et amis.
J'espère également que vous avez eu le temps de vous replonger dans le cahier pédagogique et de travailler sur celui-ci.
Pour ma part, je vous annonce que le dossier en anglais sera à rendre pour le lundi 10 mai. Je compte sur vous pour me le remettre à cette date en suivant bien les consignes données pour son élaboration.
Bon weekend et à bientôt.
A. COLIN
vendredi 23 avril 2010
samedi 3 avril 2010
Dernier message du MAROC
Après calcul et alertes de certains parents, le retour se fera à l'aéroport à 12h05 (+1h par rapport à l'horaire annoncé à cause du passage à l'heure d'été qui n'avait pas été pris en compte par le voyagiste).
Merci de votre compréhension et à toute à l'heure!
Merci de votre compréhension et à toute à l'heure!
Retour au petit trot
A 9 heures, nous quittons l'hôtel en direction du centre de Marrakech, pour visiter l'université coranique, la Medersa Ben Youssef. En chemin, nous nous sommes arrêtés dans le quartier de Gueliz, où se trouve la mosquée et l'église des saints martyrs de Marrakech. L'église était fermée au public, mais on nous a permis de rentrer. C'est une église moderne au décor très sobre se prêtant au recueillement.
La Medersa est une révélation! Elle a été construite au XIVème siècle et est toujours en bon état.
C'était un internat pouvant accueillir jusqu'à 900 étudiants, logés dans 132 chambres très petites. Ils y étudiaient le Coran, y dormaient et y préparaient leurs repas.
Les règles en vigueur étaient très drastiques. Les étudiants qui en sortaient étaient destinés, en grande partie, à la fonction publique. Dans la salle de prière, après la purification dans la cour aux ablutions, ils se tournaient vers le mihrab, en direction de La Mecque.
Après un couscous reconstituant, au Toubkal, achats pour tout le monde! Plaisir de marchander, joie de déambuler dans les ruelles bondées, régal des yeux captant mille et une couleurs, ... éveil des sens!
Chargés de tous nos achats, le retour s'annonçait difficile: pieds douloureux, dos courbé, bras enkilosés par les sacs plastiques, assoiffés...coeur et porte-monnaie légers, nous entamions notre chemin de retour. Mais c'était sans compter sur l'idée lumineuse de Monsieur Aboudeine! C'est en calèche que nous sommes revenus à l'hôtel!
Nous avons bien profité de notre dernière journée, la chaleur et le soleil étaient au rendez-vous.
Manon, Victoire et les enseignants.
La Medersa est une révélation! Elle a été construite au XIVème siècle et est toujours en bon état.
C'était un internat pouvant accueillir jusqu'à 900 étudiants, logés dans 132 chambres très petites. Ils y étudiaient le Coran, y dormaient et y préparaient leurs repas.
Les règles en vigueur étaient très drastiques. Les étudiants qui en sortaient étaient destinés, en grande partie, à la fonction publique. Dans la salle de prière, après la purification dans la cour aux ablutions, ils se tournaient vers le mihrab, en direction de La Mecque.
Après un couscous reconstituant, au Toubkal, achats pour tout le monde! Plaisir de marchander, joie de déambuler dans les ruelles bondées, régal des yeux captant mille et une couleurs, ... éveil des sens!
Chargés de tous nos achats, le retour s'annonçait difficile: pieds douloureux, dos courbé, bras enkilosés par les sacs plastiques, assoiffés...coeur et porte-monnaie légers, nous entamions notre chemin de retour. Mais c'était sans compter sur l'idée lumineuse de Monsieur Aboudeine! C'est en calèche que nous sommes revenus à l'hôtel!
Nous avons bien profité de notre dernière journée, la chaleur et le soleil étaient au rendez-vous.
Manon, Victoire et les enseignants.
vendredi 2 avril 2010
Entre huile et eau
Aujourd'hui, nous sommes allés à Essaouira, et sur la route , nous avons vu des chèvres qui montaient dans les arganiers. Nous avons eu l'occasion de porter un chevreau.
Nous nous sommes arrêtés dans une coopérative de femmes, qui transforment les graines des arganiers en huile ou autres préparations cosmétiques ou culinaires. Cela sentait très bon les arachides grillées. Nous avons dégusté quelques produits : miel, huile d'argan, beurre d'argan (nutella berbère). C'était délicieux!
Peu avant d'arriver à Essaouira, nous nous sommes arrêtés pour admirer le panorama. La mer, le port et la ville s'offraient à nous. C'était splendide!
Nous nous sommes dirigés vers le port d'Essaouira où les maisons sont blanches et les volets bleus. Les chalutiers et les barques bleues couvrent la mer.
Nous avons marché devant la digue. Que de vent et de goëlands! Nous avons eu peur de nous envoler.
Pour déjeuner, nous avons mangé des kebabs, aux pieds des remparts dessinés par Théodore Cornut, disciple de Vauban. Essaouira signifie la "bien dessinée". La médina est constituée de rues étroites et rectilignes contrairement à celle de Marrakech.
Le souk est ouvert sous des arcades, où les commerces se succèdent sans être regroupés par quartiers. De nombreux artistes exposent leurs toiles.
Une autre spécialité d'Essaouira est la marqueterie. De nombreux objets artisanaux sont fabriqués dans du bois de thuya.
Nous sommes montés sur les remparts et, de la tour, nous avons surplombé la digue avec ses canons. La mer était haute, le vent soufflait très fort et les embruns nous éclaboussaient.
Nous avons tous apprécié la journée et sommes rentrés heureux d'avoir découvert un autre visage du Maroc.
Clémence, Malis, Astel-Laure et les enseignants.
Nous nous sommes arrêtés dans une coopérative de femmes, qui transforment les graines des arganiers en huile ou autres préparations cosmétiques ou culinaires. Cela sentait très bon les arachides grillées. Nous avons dégusté quelques produits : miel, huile d'argan, beurre d'argan (nutella berbère). C'était délicieux!
Peu avant d'arriver à Essaouira, nous nous sommes arrêtés pour admirer le panorama. La mer, le port et la ville s'offraient à nous. C'était splendide!
Nous nous sommes dirigés vers le port d'Essaouira où les maisons sont blanches et les volets bleus. Les chalutiers et les barques bleues couvrent la mer.
Nous avons marché devant la digue. Que de vent et de goëlands! Nous avons eu peur de nous envoler.
Pour déjeuner, nous avons mangé des kebabs, aux pieds des remparts dessinés par Théodore Cornut, disciple de Vauban. Essaouira signifie la "bien dessinée". La médina est constituée de rues étroites et rectilignes contrairement à celle de Marrakech.
Le souk est ouvert sous des arcades, où les commerces se succèdent sans être regroupés par quartiers. De nombreux artistes exposent leurs toiles.
Une autre spécialité d'Essaouira est la marqueterie. De nombreux objets artisanaux sont fabriqués dans du bois de thuya.
Nous sommes montés sur les remparts et, de la tour, nous avons surplombé la digue avec ses canons. La mer était haute, le vent soufflait très fort et les embruns nous éclaboussaient.
Nous avons tous apprécié la journée et sommes rentrés heureux d'avoir découvert un autre visage du Maroc.
Clémence, Malis, Astel-Laure et les enseignants.
jeudi 1 avril 2010
Dans le labyrinthe de la médina
Ce matin grasse matinée, lever à 7 heures! Marrakech nous attendait.
Qui est qui?
Nous avons pris le boulevard Mohammed V en direction de la médina, nous étions déjà dans l'animation de la ville. En chemin Monsieur Aboudeine nous a montré une petite place sur laquelle une mosquée côtoie une église et jadis une synagogue. Quel symbole de la tolérance marocaine!
Devant la Koutoubia, patrimoine de l'UNESCO, nous avons eu quelques explications sur l'histoire, l'architecture et le fonctionnement de cette deuxième plus haute mosquée du Maroc.
Nous arrivons ensuite sur la place Djemaa el Fna, "place de la fin" appelée ainsi en raison des exécutions publiques des rebelles bédouins. Nous nous sommes arrêtés devant la stèle qui signale la distinction au patrimoine oral et immatériel de l'Humanité.
En cette heure matinale, la place est encore endormie. Le souk est déjà animé. Nous déambulons dans une ruelle connue pour la valorisation des pneus (recyclage), des boites de conserve ...
Un petit tour par la Place des ferblantiers, où nous observons des nids de cigognes.
Quelques pas plus loin, nous voici dans le Palais Bahia! Dès le petit riad, l'atmosphère est différente. Les merveilles s'enchainent : travail du stuc, mosaïques, ébénisterie, peinture des plafonds sur bois de cèdre de l'Atlas. Chaque salle a un décor unique.
Il est alors l'heure de se rendre au restaurant Le Toubkal sur la Place Djemaa El Fna. En chemin nous découvrons l'ambre que nous testons sur le dos de notre main.
En ressortant, nous nous engouffrons dans le souk. Quelle fourmilière! Tout est organisé en corps de métiers : ferronnerie, maroquinerie, ébénisterie, couture, teinturerie...
Qui est qui?Il faut faire attention aux différents véhicules qui circulent dans les ruelles étroites.
Nous quittons le souk en passant par les quartiers populaires pour nous rendre dans les jardins Majorelle créés par Yves Saint-Laurent. Un des directeurs des jardins, Bernard, un voisin de Monsieur Aboudeine, nous accueille et nous explique l'histoire du lieu. C'est un véritable bonheur de s'y promener, la vue, l'ouie, l'odorat sont sollicités. Le bleu Majorelle contraste avec la végétation où les bambous et les palmiers créent une atmosphère permettant la vie d'une très grande variété de plantes sous son couvert. Une collection de cactées enrichit ce lieu magique. Un magestueux bougainvillée fushia apporte lui aussi une touche de couleur.
Nous rentrons à l'hôtel ... nos dossiers pédagogiques nous attendent!...
Vivement demain pour découvrir Essaouira!
François, Vincent et les enseignants.
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